VDLV cultive du tabac pour produire sa propre nicotine !

VDLV cultive du tabac

Contrairement à la croyance générale, la nicotine n’est pas une substance cancérigène. C’est plutôt sa combustion dans une cigarette qui est source de danger pour l’organisme. Fort heureusement, VDLV s’est basé sur 12 principes de la chimie verte pour extraire cette substance contenue dans les feuilles de tabac. Découvrez ici les avantages de ce procédé innovant.

Une optimisation de la réduction des risques

Vu les dégâts de la combustion de la cigarette classique sur l’organisme des consommateurs, il devenait urgent de trouver une alternative plus sûre. C’est d’ailleurs ce qui a poussé Vincent Cuisset à lancer son entreprise VDLV. Lors des recherches qui consistaient à réduire les risques, l’entrepreneur a également mis en place un procédé qui permet d’extraire la nicotine.

Cela permet donc au consommateur d’obtenir sa dose de nicotine sans passer par la combustion. Il s’agit d’une procédure innovante qui intéresse non seulement les concepteurs de e-liquide, mais également les vapoteurs réguliers. Grâce à cette nouvelle méthode, le consommateur a la garantie que le potentiel toxique de la substance inhalée au quotidien est très faible.

Une nicotine moins toxique

Pour réduire davantage les risques, VDLV s’est lancé dans la production de sa propre nicotine. Ce processus de fabrication comprend 4 étapes. Bien entendu, les différentes étapes sont réparties du triage de la graine de tabac cultivée jusqu’à sa purification grâce à la fameuse méthode innovante (chimie verte).

Par contre, la nicotine que vous retrouverez dans les e-liquides traditionnels ne convient pas au vapotage. Généralement, les fabricants se les procurent par des circuits d’importations étrangers où elles sont extraites grâce à un solvant chloré appelé le dichlorométhane.

Bien que le taux de concentration de ce produit soit infime dans la nicotine purifiée, sachez qu’elle reste tout de même cancérigène. Vous la trouverez par conséquent dans les e-liquides. A contrario, l’entreprise VDLV a éliminé avec succès cette impureté toxique.

Une méthode de production “made in France”

Ingénieur en instrumentation spécialisé en métrologie et qualité, le fondateur de VDLV a découvert la cigarette électronique lors d’une soirée entre amis. Celui-ci affirme qu’il avait réussi à ne pas brûler une seule cigarette de toute la soirée grâce à l’e-cig de l’un de ses amis. Évidemment, cette expérience a été le déclic qui a marqué sa vie.

Vincent Cuisset remarque également un changement de comportement des personnes de son entourage. En effet, la cigarette électronique a permis à certains de ses proches de diminuer leur consommation de cigarettes traditionnelles tandis que d’autres stoppent complètement. C’est alors le début de ses premières recherches sur les arômes et depuis quelques années sur la nicotine.

Aujourd’hui, l’entreprise VDLV possède plusieurs hectares de tabac qui sont essentiellement destinés à la production de nicotine de ses futurs e-liquides. L’entrepreneur passionné affirme d’ailleurs que toute son équipe est contente de travailler avec des agriculteurs de tabac français. En dehors de la production, l’entreprise organise également des sessions de sensibilisation sur cette nouvelle procédure typiquement « made in France ».

Des promesses réalistes

Même si l’avenir semble radieux pour l’entreprise VDLV, il faut noter qu’il y a encore du chemin à faire. Toutefois, elle ambitionne d’apporter une certaine sécurité au consommateur. Cela assure de ce fait un avenir serein à ces nouveaux liquides.

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